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31Mai

La variabilité de l’entraînement

31 mai 2022 Kikourvite Non classé 58

Alors bien sûr, la routine dans l’entraînement n’occasionne heureusement pas une fin si funeste, mais par contre, s’enfermer dans la monotonie, répéter toujours les mêmes séances, reproduire les mêmes plans d’entraînement nuit à votre progression et risque de vous pousser vers les pentes dangereuses du surentraînement.

Pour rappel, 3 grands principes régissent les théories de l’entraînement : la progressivité, la spécificité et la variabilité. Nous avons déjà évoqué certains bienfaits de l’entraînement croisé dans un précédente article et ce type d’entraînement entre tout à fait dans ce domaine mais ici nous restons sur les séances de courses à pied proprement dites.


Alors pourquoi et comment varier vos entraînements ? Nous allons apporter des éléments de réponses à ces questions selon 3 axes :

1 – Cycles et pic de forme

L’objectif de l’entraînement est de déséquilibrer l’organisme pour qu’il s’adapte et se réorganise à un niveau supérieur à son niveau initial. Ce principe s’applique quelles que soient les qualités que l’on cherche à développer (force, vitesse, endurance…).

A partir de cette base découlent plusieurs contraintes pour l’organisation des séances :

  • Si on applique à l’organisme et à tous ses systèmes cardio-vasculaires, respiratoires mais aussi métaboliques, ostéoarticulaires, musculaires… toujours les mêmes charges, il s’habitue, il n’est pas déstabilisé en profondeur, il ne se réadapte pas et donc ne progresse pas. Que vous soyez coureur débutant ou confirmé, c’est le même principe : une fois qu’un pallier est atteint, il faut augmenter les charges d’entraînement (en volume et en intensité) pour atteindre le pallier supérieur.
    Un footing 2-3 fois par semaine à la même allure tranquille, c’est bien pour un début. Mais une fois que vous avez atteint une certaine facilité, que vous êtes capable de courir sans vous arrêter 1h-1h30, il va falloir passer à autre chose et introduire des séances intensives surtout si vous souhaitez progresser.
    De même pour un coureur plus confirmé, toujours reproduire la même série, la même semaine type d’entraînement, le même plan d’entraînement va vous assurer une certaine continuité dans vos performances, mais pas de progrès notoires.
  • Par contre, il faut aussi laisser du temps à l’organisme pour se stabiliser. Pas assez de nouvelles charges nuisent à la progression mais trop de charges mal adaptées au niveau quantitatif, qualitatif et temporel peuvent fortement tuer cette progression ! Donc, tout va être question de dosage et de variation. On parle de dynamique des charges ondulatoire. C’est à dire qu’intensité et volume (les paramètres de la charge) ne peuvent augmenter parallèlement que jusqu’à une certaine limite. Il sera nécessaire de jouer sur ces deux paramètres, en les augmentant ou en les diminuant selon les périodes. Il sera également primordial de respecter des alternances charge/allègement. La récupération tient une véritable place dans la planification. Elle doit être finement programmée. Il est nécessaire de laisser du temps à l’organisme pour se réadapter sinon, on court droit vers le syndrome de surentraînement.
  • Et vous vous doutez bien que l’amélioration des performances ne se fait pas en 15 jours ! On parle plutôt en mois pour certaines qualités… Alors, prenez un calendrier, entourez de rouge un ou deux (maximum 3) objectifs principaux de votre saison et organisez un rétro planning de vos entraînements pour que votre pic de forme et votre course phare coïncident ! Programmez une montée en charge progressive (en volume et en intensité) et cyclique (n’oubliez pas les phases allégées) vers votre objectif de la saison.

2 – Variabilité des intensités de travail : de l’endurance de base à la Vitesse Maximale Aérobie

2-1 : 3 zones


Pour développer l’aptitude aérobie, on peut jouer sur plusieurs leviers : augmenter le volume de l’entraînement et mettre de l’intensité dans ses séances. Grosso modo et pour simplifier, on distingue 3 niveaux d’intensité à utiliser et à varier harmonieusement pour progresser en course à pied d’endurance :

  • Zone 1 : c’est l’endurance de base, fondamentale, c’est l’intensité à laquelle vous pouvez courir encore et encore ! C’est l’allure des footings, des sorties plus ou moins longues. A l’arrivée, la perception de votre effort (RPE) est située à moins de 5 sur une échelle de 10.
  • Zone 2 : on est sur de l’endurance aérobie intensive, c’est une zone qui oscille entre un seuil haut (autour de l’allure du 10 km) et un seuil bas (autour de l’allure du marathon). C’est la zone des séances « aux seuils », les allures sont appliquées soit sur des intervalles longs type 3×10’, 10’-15’-10’, 2×20’… ou soit en continu jusqu’à 1h-1h15 d’effort intensif. La « cotation RPE » est autour de 6-7 voire 8. 
  • Zone 3 : on entre dans la zone d’entraînement de votre VMA, les allures oscillent également entre une valeur haute, submaximale, autour de 110-115 % de votre VMA et une valeur basse sous maximale, autour de 85 % de votre VMA. Les intervalles de temps vont varier bien sûr en fonction de ces intensités, plus l’effort est bref, plus il sera intense, de 10-15’’ à 10’ maximum. La « cotation RPE » est supérieure à 7. 

2-2 : Quel type d’effort privilégier ?

Évidemment la réponse à cette question reste ouverte ! Si les chercheurs et les entraîneurs avaient trouvé LA méthode infaillible ce serait trop facile !

  • Un point qui fait consensus : la nécessité d’introduire des séances à intensité élevée voire maximale pour améliorer les performances en endurance et ce quel que soit votre âge. Donc un premier principe à retenir : dans votre semaine d’entraînement, variez les intensités, et entre vos séances type « footing » glissez du fractionné à haute intensité, même pour les plus masters d’entre nous !
  • Par contre, sur le comment distribuer les intensités Z1-Z2-Z3 sur l’ensemble de la semaine, là, l’unanimité est moins probante. Cependant une tendance actuelle se dégage : c’est l’entraînement « polarisé », c’est à dire, l’entraînement aux « pôles », du Z1, du lent, du long en grande majorité d’un côté et du Z3, du court et de l’intensif à petites doses de l’autre côté. Et assez peu, voire très peu de Z2 (qui peut être réalisé lors de compétitions préparatoires par exemple).
  • Pour résumer : il est plutôt préconisé de réaliser 80-90 % de son volume d’entraînement en zone 1, le reste en zone 2 et 3. Ce « reste », même s’il vous semble restreint est fondamental. Offrez, si possible, à vos séances intensives une place de choix dans votre emploi du temps : pas à jeun, pas entre 2 réunions, pas le soir à 22h… Privilégiez la qualité (et une réelle intensité) à la quantité.

3 – Variabilité au sein même de chaque zone de travail

Nous détaillons plus particulièrement les zones 1 et 3 qui nous semblent les plus importantes à privilégier lors de vos entraînements.

3-1 : La Z1

On vient de voir que la majorité de l’entraînement pouvaient être réalisé à faible intensité. Certes, mais cela ne veut pas dire du tout que toutes les sorties longues et les footings se répètent à l’identique. Bien au contraire. La diversité est une condition importante de l’adaptabilité au niveau physique. D’une part, les sorties vont s’allonger et être de plus en plus spécifiques au fil de la préparation (en relation bien sûr, avec l’objectif préparé). Et d’autre part, vous avez tout intérêt à varier vos parcours « de base » : cela va vous permettre également de mieux supporter la charge psychologique liée à l’entraînement. Répéter encore et encore la même séance sur le même parcours entraîne une grande lassitude physique et mentale et nuit au rendement de l’entraînement.  

Nous reviendrons ultérieurement sur la spécificité des fameux « WE  chocs », mais ce genre de sorties « ultra longues » est un outil précieux dans la progression du traileur et de l’ultra traileur.

3-2 : La Z3 : il n’y a pas que le 30-30 dans la vie !

Le « traditionnel » 30-30 n’est qu’une séance type parmi tant d’autres ! Effectivement, c’est un exercice assez facile de mise en place, de réalisation et d’implication. Cela peut-être une bonne entrée en matière pour commencer à s’approprier le fractionné, à connaître les allures intensives, les phases de récupération. Et si c’est votre chouchou, n’hésitez pas à le décliner : sur piste, sur route, sur sentier, en côte, dans les escaliers… On peut augmenter le nombre de répétitions et de séries presque à l’envi !
Mais n’oubliez pas d’explorer toute la palette des possibles pour travailler à haute intensité : jouez sur les distances, les durées, les récupérations (durée – modalité), le nombre de répétitions, de séries, les parcours… De 10’’ à 10’, vous avez vraiment le choix pour fractionner vos efforts.
Evidemment le volume global de la séance intensive va dépendre de votre niveau et de la place de la séance dans la planification, mais pour donner une estimation en temps cumulé, cela peut monter jusqu’à 30’ (par exemple 3 séries de 10x(30’’-30’) et en distance autour de 6000 m maximum (200 m / 400 m / 600 m / 400 m / 200 m)x3.
La piste rebute certains traileurs, mais elle permet vraiment d’aller plus vite, de travailler plus précisément et avec plus d’intensité.
Les séances en sentiers vallonnés, en côtes, en terrain technique quant à elles sont parfaites pour la spécificité. Alors une fois de plus, variez !!

Cherchez vraiment à varier vos entraînements pour provoquer les désadaptations nécessaires à la progression, pour réduire la lassitude physique et mentale et vous prévenir du surentraînement.

Par contre, il peut être intéressant d’avoir une séance test ou un parcours habituel qui revient régulièrement dans votre programmation et qui vous sert de « mètre étalon ». En notant les données (temps, vitesse, RPE, fréquence cardiaque à l’effort, en récupération…), vous pourrez ainsi comparer et évaluer votre état de forme du moment.

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02Mai

Devenir meilleur avec un entrainement complet à la course

2 mai 2022 Kikourvite Non classé 60

La recherche de performance en course à pied est fréquente chez les coureurs ! Pour différentes raisons, on peut vouloir chercher à s’améliorer, aussi bien en termes de résultats que de technique. Mais pour ça, il est important d’avoir un entrainement complet à la course. Ce qui signifie qu’il ne faut pas se limiter aux sorties qui rythment sa semaine !

Chercher de meilleures performances en course : pourquoi ?

Je vais donc revenir sur ce qu’est un entrainement complet et pourquoi il est intéressant.
Pour bénéficier d’informations complémentaires, de nombreux articles ont été rédigés à cette adresse : https://www.ownsport.fr/blog/running/. Je vous invite aussi à parcourir le reste de ce blog où j’ai déjà abordé le sujet fréquemment !

Presque tous les coureurs ont un jour recherché de meilleurs résultats. Voici les raisons pour lesquelles vous pourriez vous y intéresser !

Pour le plaisir ou pour sa santé

Tout d’abord, c’est souvent le cas lorsqu’il est question de préparer une compétition. Plus cette dernière demande un niveau élevé, plus il faudra s’entrainer pour aller au bout.

Des plans d’entrainement tout faits se trouvent même facilement pour chaque type de course (marathon, semi-marathon, ultra trail…). Attention tout de même avec cette formule, qui ne s’adapte pas forcément à votre niveau !

Ensuite, il arrive qu’on veuille devenir meilleur simplement pour le plaisir de se dépasser. C’est toujours grisant de constater une progression de son endurance, ou de l’intensité de sa course avant le passage en anaérobie.

Enfin, avoir de meilleures performances comporte des bienfaits sur la santé qui devraient être plus souvent évoqués. Et oui, mieux performer prévient les blessures ! Une meilleure foulée et une meilleure condition physique en général permettent donc d’éviter les lésions et autres pathologies.

Les articulations sont aussi mieux protégées avec un entrainement complet. En effet, le running est un sport qui comporte des impacts. Ces derniers peuvent provoquer des traumatismes ou des douleurs, notamment aux genoux. En optant pour un entrainement complet, vous évitez ces effets indésirables au maximum.

Cependant, dans l’ensemble, la course est plutôt bénéfique pour les articulations. Elle diminuerait notamment le risque d’arthrose comme le soulève reflexosteo.com. En effet, elle ralentirait l’usure du cartilage. En modérant les impacts avec une bonne préparation et en vous entrainant, vous restez donc en bonne santé plus longtemps !

Un plan d’entrainement complet à la course : des sorties, mais pas que !

S’attarder sur sa technique de course

Si vous pratiquez la course à pied depuis un moment, vous le savez sûrement… On ne court pas n’importe comment ! Pour progresser, votre technique de course est importante. Déroulé de la foulée, posture, espacement des pas, etc.

Je ne vais pas m’attarder sur comment bien courir, car il y aurait trop à dire. Mais gardez à l’esprit que c’est important si vous voulez des résultats ! Et même, simplement, par sécurité.

L’organisation de ses sorties run

Pour s’entrainer à courir afin de s’améliorer, le principe est simple. Il s’agit de programmer, sur plusieurs mois, le nombre de sorties et leur durée pour chaque semaine jusqu’au jour J.

Il n’y a pas d’entrainement type, puisqu’il dépend de plusieurs facteurs. Niveau en tant que coureur, type de course pratiquée, habitudes sportives en dehors du running… Cela peut varier aussi si votre plan d’entrainement comprend à la fois de la course à pied et d’autres types de sports. Parfois, le mieux est l’ennemi du bien. Il faut trouver la cadence adaptée pour s’améliorer, sans surmener votre corps.

Pour progresser, beaucoup conseillent cependant un minimum de 3 séances par semaine. Bien sûr, ce chiffre est indicatif, il faut augmenter progressivement la difficulté, en fonction de vos limites !

De plus, il ne faut pas s’entrainer toujours au même rythme, bien au contraire. La variété est la clé de la progression. Ce qui nous mène à ce qui fait un entrainement complet à la course !

D’autres exercices pour un entrainement complet à la course

Vous avez peut-être déjà lu l’article sur le gainage et ses bienfaits pour la course. Ce dernier est en effet très intéressant pour renforcer les muscles profonds et les abdos. Mais il existe beaucoup d’autres exercices que vous pouvez faire pour rendre votre entrainement à la course plus complet.

Par exemple, certains muscles peuvent être travaillés en isolation. Il est intéressant de faire du renforcement musculaire en complément du run, notamment pour ceux qui ont un déséquilibre musculaire. Ischios-jambiers, quadriceps, fessiers ou muscles des mollets pourront alors devenir plus costauds.

Les jambes ne sont d’ailleurs pas les seules à travailler lorsque vous courrez. Les abdominaux sont aussi importants pour la stabilité du tronc ! Pour que vos foulées soient correctement exécutées, cette stabilité est indispensable.

Les exercices recrutant plusieurs groupes musculaires ne sont pas moins pertinents. Ils ont l’avantage de renforcer plusieurs zones de votre corps à la fois. Fentes, squats, crunchs… Il y a du choix.

Par ailleurs, il est recommandé d’alterner entre course et autres pratiques sportives. C’est ce qu’on appelle l’entraînement croisé ! En plus d’être optimal, ce dernier permet de casser la routine dans laquelle on peut avoir tendance à s’installer lorsqu’on court régulièrement.

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22Fév

Quoi manger avant de courir

22 février 2022 Kikourvite Non classé 57

Les coureurs négligent souvent de s’alimenter avant de courir et surtout de boire bien et suffisamment. Pourtant, ils ont tout à y gagner : une course plus facile, plus efficace, plus agréable.

En plus d’éviter la faim, la déshydratation, les étourdissements et la fatigue, on récupère mieux, parce que l’on n’a pas puisé dans nos réserves d’énergie, et on gagne en muscles.

1. « Manger avant me barbouille !»

Vous êtes nombreux à ne pas manger avant de courir par peur des maux de ventre. Je vous conseil de manger quelque chose de léger à digérer et qui comblera vos besoin durant l’effort.

Favorisez les glucides : pain, céréales, pâtes, riz et pommes de terre, fruits. Et des protéines maigres, pour la sensation de satiété, surtout si vous courrez plus longtemps.

Selon l’heure de la journée et la durée de l’entraînement, vous pouvez opter pour une barre tendre, des fruits, un yogourt. Ou alors un repas qui se digère rapidement : du riz avec du poulet, un sandwich au jambon, au poulet ou au thon.

2. « Jamais faim le matin !»

Le matin, il est important d’avaler un petit quelque chose, surtout avant de courir car les réserves du foie, qui servent à maintenir la glycémie, ont été pas mal utilisées pendant la nuit.

Si vous partez à l’entraînement sans rien dans le ventre, vous risquez de ne pas être capable de faire votre entraînement d’une heure ou deux avec le sourire aux lèvres.

Évidemment, avant une course de moins d’une heure, une petite collation va suffire. Un yogourt ou des céréales avec du lait, un petit morceau de fromage, un oeuf poché…

3. Maigrir ou manger double

Beaucoup se lancent dans la course pour perdre du poids. Ceux-là sont encore plus tentés de ne rien manger avant ou après. Résultat ? Ils sont si affamés qu’ils mangent beaucoup plus au repas, trois heures plus tard.

Adoptez plutôt l’idée d’une alimentation équilibrée déficitaire en calories sur 24 heures, sans sacrifier sur la collation avant ou après la course.

En outre, pour perdre du poids, l’exercice seul n’est pas suffisant. Pour maigrir en faisant seulement de l’exercice, il faut travailler longtemps, longtemps, longtemps…

4. 30 minutes pour bien récupérer

Il est particulièrement avantageux non seulement de s’hydrater mais d’avaler glucides et protéines dans la demi-heure suivant l’effort.

Les protéines vont aider à réparer plus vite les fibres musculaires. Après un entraînement, elles vont aussi accélérer la récupération et le gain en masse musculaire, surtout si elles sont prises avec des glucides. Et tout cela sera encore mieux absorbé sous forme liquide.

5. « Je ne bois jamais, je n’ai pas soif »

Il est très rare que les gens boivent suffisamment à l’effort. Toutes les excuses sont bonnes! On invoque le « flouche-flouche » dans l’estomac, l’inconfort de la ceinture porte bidon ou des sacs gilet d’hydratation.

La performance baisse de 10% dès qu’on ressent la soif, affirme la nutritionniste sportive.

Donc, il faut boire avant, mais surtout pendant et après. Une bonne gorgé toutes les 15 minutes, peu importe l’intensité, qu’il fasse chaud ou qu’il fasse frais.

Les hommes suent beaucoup plus que les femmes. Les femmes ont tendance à s’échauffer et à devenir rouges plus rapidement. Quant aux enfants, avant la puberté, leur système de sudation n’est pas encore pleinement efficace, d’où l’importance qu’ils suivent des consignes d’hydratation.

Un test pour savoir si on boit suffisamment ? On se pèse avant et après l’entraînement. Si on a perdu 1 kg, c’est qu’on aurait dû boire 1 litre de liquide.

6. Trop boire ou mal ?

ATTENTION tout de même. À boire plus d’eau que nécessaire, on peut se retrouver avec un déséquilibre en sels minéraux (hyponatrémie) dont les symptômes rappellent la déshydratation.

Quand on court une heure ou plus, ou lorsque l’on transpire beaucoup naturellement ou à cause de la chaleur, on perd assez de minéraux pour qu’une boisson énergétique soit nécessaire. Ce que vous avez besoin de remplacer pendant l’effort : de l’eau, du sucre, du sodium et du potassium.

C’est un problème qu’on rencontre beaucoup l’été par grosse chaleur. Pour refroidir le corps, vous avez tendance à beaucoup boire alors qu’il faut le refroidir de l’extérieur. Mouiller vous la tête, le visage et les avant-bras.

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12Fév

Qu’est-ce que le sport-santé ?

12 février 2022 Kikourvite Non classé 55

Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) : Le « sport-santé » recouvre la pratique d’activités physiques ou sportives qui contribuent au bien-être et à la santé du pratiquant.

Comme vous le savez, la pratique d’activités physiques ou sportives permet de rester en bonne santé. Elle améliore chez les personnes souffrant d’une maladie chronique l’état de santé.

L’OMS définit l’activité physique comme tout mouvement corporel produit par les muscles qui requiert une dépense d’énergie – ce qui comprend les mouvements effectués en travaillant, en jouant, en accomplissant les tâches ménagères, en se déplaçant et pendant les activités de loisirs.

Le terme « activité physique » n’a pas la même signification que l’expression « faire de l’exercice », qui correspond à une sous-catégorie de l’activité physique plus délibérée, structurée, répétitive, et qui tend à améliorer ou à entretenir un ou plusieurs aspects de la condition physique. Quel que soit le niveau d’intensité, modéré ou plus intense, l’activité physique bénéficie de nombreux bienfaits pour la santé.

De nos jours, nous considérons que la sédentarité est le quatrième facteur de risque de mortalité au niveau mondial. Celle-ci progresse dans beaucoup de pays, favorisant considérablement la prévalence des maladies non transmissibles et la santé globale des populations.

Le manque d’activité physique est l’une des 10 premières causes au regard de la mortalité mondiale et fait augmenter le poids des maladies non transmissibles affectant ainsi la santé en général à l’échelle mondiale.

D’où l’importance du sport-santé !

Concernant les enfants et les adolescents âgés de 5 ans à 17 ans, l’OMS recommande de pratiquer au minimum 60 minutes d’activité physique journalière de façon modérée à intense. en bref il suffit de lâcher les téléphone portable et de s’amuser pendant les intercours. Nos ados, devrait même avoir des activités de renforcement musculaire et osseux au moins trois fois par semaine.

Pour les adultes de 18 à 64 ans il est fortement recommandé de pratiquer au moins 150 minutes par semaine (20 minutes par jours) une activité physique modérée ou 75 minutes de façon intense. Il est tout à fait possible de faire un mixte des deux et sans oublier d’y intégrer des activités de renforcement musculaire deux fois par semaine minimum.

Afin de ressentir les bienfaits supplémentaires sur la santé, les adultes devraient faire 300 minutes de sport par semaine (40 min par jours) avec une intensité modérée ou l’équivalent pour une pratique intensive. Enfin, il faudrait qu’ils pratiquent des activités de renforcement musculaire deux fois par semaine minimum.

Pour les adultes de plus de 65 ans, ils devraient faire au minimum 150 minutes d’activité physique par semaine de manière modérée ou 75 minutes de façon intense.

Sources :

  • Organisation Mondiale de la Santé : https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/physical-activity
  • Ministère des sports : http://www.sports.gouv.fr/pratiques-sportives/sante-bien-etre/Le-Pole-Ressources-national-Sport-et-Sante-11176/article/Pourquoi-promouvoir-la-sante-par-le-sport
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12Fév

Augmenter sa cadence de course à pied ?

12 février 2022 Kikourvite Non classé 57

Tout coureur cherche un jour à courir plus vite en utilisant le moins d’énergie possible. Pour ce faire, nous savons qu’il existe plusieurs techniques parmi lesquels on trouve : la cadence de course à pied. Alors comment augmenter sa cadence de course à pied ?

Qu’est-ce que la cadence de course à pied ? 

La cadence de course à pied correspond au nombre de pas parcourus par le coureur sur une minute. Pour la calculer, il suffit de compter le nombre de fois que vos pieds vont toucher le sol sur une minute. 

On situe la cadence de course « idéale » à 180 pas par minute à plus ou moins 10. Attention, il s’agit d’une estimation qui va bien évidemment varier d’un coureur à l’autre en fonction de plusieurs paramètres. 

Pourquoi vouloir augmenter sa cadence de course ?  

L’augmentation de votre vitesse de course ne peut se faire qu’en augmentant soit :

  • La cadence de course à pied
  • La longueur des foulées 

Augmenter la cadence de course permettrait de courir plus vite sans allonger sa foulée de manière trop significative. 

L’intérêt serait double ici : 

  • Améliorer son économie de course : une diminution de la consommation d’oxygène a été constatée chez les coureurs qui augmentent leur cadence de course à pied. Cette augmentation permettrait aussi de diminuer l’effort musculaire, notamment en atténuant la verticalité et le rebond de la foulée. 
  • Réduire le risque de blessure : l’inconvénient principal d’une foulée trop longue est le fait d’atterrir sur le sol avec le talon bien en avant du centre de gravité. Le stress mécanique, notamment sur les articulations des genoux et des hanches est alors important et peut accentuer le risque de blessure. Adopter une cadence de course plus importante participerait à situer l’impact du pied sur le sol le plus aligné possible avec votre centre de gravité. 

Cependant, comme vous vous en doutez, l’augmentation de votre cadence de course ne permet pas à elle-seule d’adopter une foulée économe et mécaniquement moins contraignante. Il ne s’agit que d’un facteur parmi d’autres à prendre en compte. 

Comment augmenter sa cadence en course à pied ? 

Je rappel, que la cadence de course à pied de la plupart des coureurs se situe aux alentours de 180 ppm, quel que soit le niveau, la distance et la vitesse de course. 

Rien ne sert donc, de se focaliser sur l’augmentation de sa cadence de course en pensant que cet élément seul va vous suffire à booster vos performances. 

La cadence de course à pied est relativement aisée à travailler. Faites simplement des sorties en variant votre cadence afin de permettre à votre corps de réagir et de s’adapter aux différentes variations auxquelles vous le soumettez. A force d’entrainement, vos muscles et votre coordination vont se renforcer, vous permettant d’atteindre votre objectif : l’augmentation de votre cadence de course à pied. 

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16Oct

Courir en hiver : la règle des 3 couches

16 octobre 2021 Kikourvite Non classé 48

“La règles des 3 couches”. Ça peut sembler compliqué mais cette règle est un peu comme un pilier du running. Elle va vous permettre de savoir comment bien vous habiller pour vos sorties hivernales.

Concrètement c’est simple, comme son nom l’indique, vous allez porter trois couches de vêtements. Voici lesquelles et surtout à quoi elles servent.

La couche respirante

C’est la couche que vous porterez à même le corps. Elle doit être techniques pour bien évacuer la transpiration. Cette couche peut-être un t-shirt ou un haut à manches longues si vous êtes frileux. Je vous recommande de prendre une taille qui épouse bien votre corps afin qu’elle ne vous gêne pas une fois que vous aurez ajouté la couche suivante.

La couche thermique

C’est la seconde couche de votre tenue. Elle est très importante car c’est celle qui doit vous apporter la chaleur durant votre sortie. Elle doit donc maintenir la température de votre corps. Préférez les produits avec une fermeture éclair. En cas de coup de chaud elle permettra de vous aérer un peu.

La couche imperméable

C’est la dernière couche et la plus importante en cas de pluie, de vent glacial ou de températures très négatives ! Elle doit parfaitement couper du vent tout en restant légère et surtout ULTRA respirante de façon à limiter la condensation.

Maintenant que vous saisissez parfaitement le principe des 3 couches, adaptez-le en fonction de la météo.

Une des erreurs fréquente, est de s’habiller trop chaudement, en particulier l’hiver. Il est normal d’avoir un peu froid au départ de sa sortie running. Éventuellement, prenez un vêtement léger que vous pourrez enlever et ranger dans une poche une fois que votre température corporelle sera un peux plus élevée.

Pour l’obscurité

La luminosité diminue parfois rapidement en particulier à l’automne, alors pour votre sécurité, pensez à avoir des vêtements réfléchissants pour courir de façon à rester visible même dans l’obscurité. Certaine veste sont très réfléchissante la nuit. Il existe énormément de produits pour la visibilité ( gilets, ceintures, harnais etc…)

Et voila, vous en savez plus maintenant, vous verrez que vos runs vont changer radicalement en confort. Si vous avez besoin de conseils plus spécifique, n’hésitez pas à venir me voir pour en discuter.

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09Juil

PLUTÔT MATIN OU SOIR ? Le sport bien sûr.

9 juillet 2021 Kikourvite Non classé 74

Ne vous attendez pas à une réponse tranchée, un mode d’emploi, une règle absolue, car la question sous-entend plusieurs réponses.

Les études démontrent que le sport est bénéfique, que ce soit le matin ou le soir. Chaque moment de la journée présente toutefois ses avantages et ce, que vous fassiez du sport en salle ou en plein air.

POUR CE QUI EST DU MATIN :

Vous ferez le plein d’énergie pour le reste de la journée mais pas que.

Et oui, le sport augmente la production d’endorphine et de diverses hormones intervenant dans la régulation de l’humeur, ce qui peut aider à aborder plus sereinement la journée à venir. Le sport le matin rend plus dynamique et permet d’avoir l’esprit vif et aiguisé.

Vous dormirez mieux.

En 2011, des chercheurs de l’Université d’État des Appalaches ont découvert que faire de l’exercice le matin aidait à mieux dormir le soir.

La pression sanguine de ceux qui font du sport à 7h du matin était presque 10% inférieure pendant tout le reste de la journée, et chutait encore d’environ 25% le soir. Les sportifs du matin dorment plus longtemps, et leur sommeil est plus réparateur que s’ils avaient fait du sport à un autre moment.

Vous aurez plus de facilités à vous en tenir à ce que vous avez à faire.

Le sport du matin permet d’habituer le corps à une activité physique régulière, car c’est un moment durant lequel nous sommes moins susceptibles d’avoir d’autres impératifs ou conflits d’horaire. Souvenez-vous que la constance est votre meilleure alliée.

Le sport le matin aide à brûler les graisses

Si l’on pratique une activité à jeun, le corps va devoir puiser sur ses réserves de sucres, puis de graisse. On brûlerait 20% de graisse en plus que si l’on faisait de l’exercice ventre plein. SAUF que très vite, le corps réclame de l’énergie et qu’il n’est pas possible de soutenir un effort sans “carburant”, au risque de s’abîmer. Donc pensez à prendre quelques précautions, effort moins fort, réserve alimentaire dans la poche etc…

Attention toutefois à l’échauffement.

L’échauffement matinal est plus long car vos muscles et vos articulations auront tendance à se raidir. C’est particulièrement important si vous projetez de réaliser une séance de fractionnés ou au seuil.Pour comparaison, les articulations et les muscles sont jusqu’à 20% plus flexibles le soir.

ET LE SOIR ALORS :

C’est une excellente manière de se défouler après une longue journée.

Après une rude journée de travail, rien de tel qu’un peu de sport pour évacuer l’anxiété et atténuer les frustrations. De plus, c’est une transition agréable après le travail, pour mieux retrouver sa famille et ses proches.

Le soir, votre corps est déjà partiellement échauffé.

Les articulations et muscles sont beaucoup plus flexibles le soir, ce qui signifie que vous serez moins exposé aux risques de blessure.

De meilleures performances

En fin d’après-midi, le corps étant chaud. Les muscles se révèlent alors plus efficaces, et on gagne en force et en endurance. On peut donc pousser son corps plus loin et plus facilement travailler à rythme élevé.

Côté souplesse, c’est tout bénéf : quand le corps est chaud, on peut le pousser un peu plus loin.

Mais pourquoi plus de force ?

Cela s’explique notamment par la testostérone qui atteint son pic en fin d’après-midi. Le corps en produit davantage l’après-midi que le matin, et cette hormone participe de la tonicité musculaire.

EN CONCLUSION :

Qu’importe le moment que vous choisirez, du moment qu’il vous convient. Ce qu’il faut, c’est trouver le bon moment, et essayer de vous y tenir, même si les habitudes peuvent varier selon les circonstances ou la saison.

De toute façon, pour réussir à faire du sport régulièrement, il vous faudra faire preuve de flexibilité, il est important d’essayer différentes plages horaires afin de trouver celle qui nous correspond le mieux, selon ce que l’on doit faire juste après mais aussi durant les heures qui suivent.

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19Mar

DÉMARRER DU BON PIED

19 mars 2021 Kikourvite Non classé 55

Il en faut peu pour devenir un « vrai » runner. La constance et la persévérance sont essentielles. Et soyons honnêtes, un bon équipement est également utile.

10 conseils pour être Run Happy

La plupart de ce que vous devez savoir, vous l’apprendrez en sortant et en courant souvent, mais bénéficier de conseils d’experts ne fait de mal à personne. En voici quelques-uns pour les débutants.

1. Entraînez l’ensemble de votre corps

Oui, nous courons principalement avec un ensemble spécifique de muscles, mais entraîner tout votre corps n’est vraiment pas une mauvaise idée. Les déséquilibres musculaires peuvent provoquer des blessures, alors envisagez un entraînement croisé les jours où vous ne courez pas. Vous lancer dans un entraînement ciblé sur le haut du corps vous aidera à maintenir l’ensemble de votre corps en forme et prêt à résister aux rigueurs du running.

2. Prenez la récupération au sérieux

Donnez-vous à fond ! Mais pas tout le temps. Les jours de récupération sont essentiels pour rester en bonne santé. Chaque fois que vous courez, votre corps se fatigue un peu. Prenez donc un jour ou deux pendant la semaine pour le laisser récupérer. Cela vous permettra de passer à la vitesse supérieure lors du prochain entraînement. Si vous êtes du genre à détester les siestes sur le canapé, optez pour des activités à impact faible comme le yoga ou la natation les jours de récupération.

3. Passez une bonne nuit

Arrêtez de lire les mauvaises nouvelles sur votre téléphone et arrêtez Netflix. Tout le monde a besoin d’un bon sommeil, mais si vous vous entraînez dur, votre corps et votre cerveau ne pourront pas fonctionner correctement sans un sommeil suffisant. Essayez au moins de profiter de huit heures de sommeil réparateur.

4. Une bonne alimentation, une bonne course

Un régime équilibré en glucides, protéines et bonnes graisses est le carburant dont vous avez besoin afin d’alimenter correctement votre corps pour vos entraînements. Vous avez le droit de craquer de temps en temps, mais n’oubliez pas d’écouter votre corps pendant les entraînements pour découvrir ce qui fonctionne ou non pour vous. Planifier ses repas est un bon moyen de garder une trace des aliments que vous consommez pendant les entraînements et avant une compétition.

5. La règle des deux heures

Pour éviter les problèmes d’estomac qui pourraient vous ralentir, évitez de trop manger ou de trop boire dans les deux heures précédant le run. Essayez de vous alimenter en glucides et en protéines à l’avance.

6. Prenez soin de votre corps avec des échauffements et des retours au calme

Faites comprendre à votre corps que vous êtes sur le point de vous lancer dans une activité exigeante en t’échauffant avant de commencer. De la marche rapide, du jogging lent et beaucoup d’étirements feront l’affaire. Il en va de même après l’effort.

7. Le souffle est important

De nombreux coureurs expérimentés s’accordent sur le fait qu’il faut être capable de parler avec des phrases complètes lorsque l’on cours. Si vous êtes seul, essayer de faire attention à votre respiration, car c’est un élément de stabilisation important pendant le run.

8. N’attendez pas pour remplacer vos chaussures

Vous adorez vos chaussures de running, mais malheureusement, même les meilleures choses ont une fin. Vos chaussures ont une durée de vie d’environ 500 à 800 km. Lorsque vous avez atteins cette limite, il est donc temps de trouver une nouvelle paire pour poursuivre la route. 

9. Soyez patient

Vous avez commencé à courir et malgré les courbatures et les douleurs initiales liées à l’utilisation de nouveaux muscles, vous êtes déjà en pleine forme et vous vous sentez prêt à vous lancer dans votre premier marathon. Demain peut-être ? Ne mettez pas la charrue avant les bœufs ! Patience et constance dans l’entraînement sont plus important que tout, sinon vous risquez de vous blesser.

10. Demandez de l’aide

Vous pensez peut-être que le running est un sport individuel, mais c’est vraiment un sport d’équipe. N’hésitez pas à demander de l’aide à d’autres coureurs. Découvrez des conseils sur les équipements, les meilleures courses, les bonnes pratiques alimentaires et bien plus encore.

C’est parti !

Maintenant que vous avez les conseils nécessaires, il est temps de commencer l’entraînement ! Si vous avez besoin de conseil complémentaire, n’hésitez pas à revenir vers moi. Et n’oubliez pas, même si les compétitions ne sont pas d’actualité pour le moment, il faut essayer de maintenir un rythme régulier.

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11Mar

SE CRÉER DE NOUVELLES HABITUDES POSITIVES

11 mars 2021 Kikourvite Article, Article, Article, Article, Article, Article, Article, Article, Article, Article 68

Connaissez-vous l’histoire de l’homme à cheval, qui galope à toute vitesse comme s’il avait une mission très importante ?

Un homme au bord de la route lui crie : « Hé ? Vous allez où comme ça ? »

Et le cavalier lui répond : « Aucune idée, demandez au cheval ! »

Il n’est pas toujours évident de freiner le rythme de notre vie et de nos habitudes. 

Que souhaitons-nous vraiment faire de notre vie ? 

Santé et bien-être sont de plus en plus au centre de ces changements. Peut-être avez-vous pris de bonnes résolutions ? Peut-être avez-vous fait appel aux conseils d’un professionnel pour vous aider dans cette démarche de changement ? Mais tout d’un coup, ça coince, on ralentit, on se démotive…

Alors penchons-nous quelques instants sur nos habitudes. Prenons-en conscience et voyons si nous ne pouvons pas en enclencher de nouvelles, qui seront bien plus bénéfiques pour nous.

Des petites actions pour atteindre son objectif

Contrairement à ce que l’on croit, si on veut obtenir des résultats extraordinaires, on n’a pas toujours besoin de réaliser des actions extraordinaires.
La clé du succès : le pouvoir des petites actions répétées dans le temps sur le long terme.

C’est le principe des petites habitudes que l’on va faire tous les jours ou presque. A l’échelle d’une journée, cela peut paraitre insignifiant. Mais, au bout de 30 jours, 6 mois, un an… on aura un réel impact.

Prenons un exemple simple, méditer 10 minutes dans une journée ne va rien changer à votre vie, mais par contre, si vous méditez 10 minutes tous les matins, pendant 365 jours, cela vous apportera des résultats incroyables. Vous voyez, juste à partir d’une seule petite action, de grandes choses peuvent arriver.

 
La difficulté avec nos objectifs, c’est la représentation que l’on s’en fait

L’inconnu nous inquiète et tout changement nous semble une montagne à gravir, quelque chose d’absolument énorme, et malheureusement cette inquiétude va nous empêcher de passer à l’action.

Par contre, si l’on découpe cet objectif en petites habitudes simples, exécutables à l’échelle d’une journée, cela deviendra beaucoup plus facile. Ce qui va faire la différence, ce sont les décisions que vous allez prendre chaque jour et les actions qui en découlent. Vous obtiendrez des résultats jours après jours, semaines après semaines, mois après mois… C’est cela qui va vous mener vers votre objectif.

La régularité

Ce qu’il faut ajouter à cela, c’est de la régularité. Ce qui est difficile, ce n’est pas ces petites actions quotidiennes en tant que telles, c’est le fait de les tenir sur le long terme, de ne pas abandonner, de ne pas procrastiner. Il convient de garder cette discipline et de passer à l’action tous les jours.

Voici 5 stratégies pour vous aider à tenir sur le long terme :

Dans le livre « Le pouvoir des habitudes », l’auteur nous explique que pour créer une habitude solide dans son quotidien, il faut respecter 3 critères :
Le déclencheur
La routine
La récompense


1 / Mettre en place un déclencheur

Si vous voulez créer une habitude solide qui devienne un pur automatisme, la clé est de l’ancrer à quelque chose de pré existant dans votre quotidien. Il s’agit de rattacher une nouvelle habitude à une habitude déjà établie. Ainsi, lorsque vous ferez la première action liée à cette première habitude déjà ancrée, immédiatement après, vous allez enchaîner sur la nouvelle action que vous avez décidé de créer comme nouvelle habitude.

Par exemple, l’heure du réveil, l’heure des repas qui sont relativement à heures fixes, le brossage de dents etc., sont des habitudes déjà en place pour la plupart d’entre nous. Donc, si vous voulez installer une nouvelle habitude, que ce soit méditer, s’hydrater régulièrement, faire du sport, lire ou quelque soit la nouvelle « bonne » habitude que vous voulez mettre en place, le principe est de lier cette nouvelle habitude à celle que vous avez déjà.

Imaginez que vous souhaitiez courir davantage, mais vous ne trouvez jamais le moment opportun dans la journée. Le soir, encore plus compliqué et ce, malgré votre volonté de courir. 

Et bien désormais, le matin, dès le réveil, prenez vos chaussures et partez immédiatement. Vous vous réveillerez au de bonne humeur et en douceur.

Multiples bénéfices !
Vous ne regretterez plus de terminer votre journée sans avoir trouver le moment pour courir. Cela sera bien ancré psychologiquement dans votre cerveau.

ATTENTION, cela marche également pour le yoga, la lecture, la marche etc…
 

2 / Le principe d’association

Le deuxième principe pour mettre en place de nouvelles habitudes dans votre quotidien et les garder sur le long terme, est le principe d’association.
Il y a des habitudes qui peuvent être difficiles à mettre en place, car elles demandent un certain effort, une certaine discipline. Par exemple, faire du sport, alors que vous préféreriez rester tranquille dans votre canapé à scroller sur votre téléphone…

L’idée ici, est de combiner cette nouvelle habitude difficile avec une habitude que l’on a déjà et que l’on aime faire.  Cela va nous donner envie de le faire.
Pour ma part je prends beaucoup de plaisir à faire du sport lorsque le soleil brille. Mais j’avoue y réfléchir à deux fois lorsqu’il pleut par exemple.

Faire sa sortie sur tapis de course est encore moins simple, sauf si je l’associe avec un film qui bouge ou une émission intéressante. L’ASSOCIATION.

Alors posez-vous la question : quelles sont les habitudes que vous avez déjà ? Quelles sont les choses que vous aimez faire au quotidien et que vous pourriez combiner avec une habitude que vous souhaitez mettre en place sur le long terme ? Et vous allez voir que si vous les associez de manière intelligente, ce sera beaucoup plus facile, beaucoup plus ludique et agréable.

3/ Se fixer un objectif minimal

Le plus difficile pour instaurer une nouvelle habitude, c’est le démarrage. Ce n’est pas le process, mais c’est de se mettre en mouvement. Souvent les objectifs que l’on se fixe sont beaucoup trop élevés. La redoutable motivation du début aura tendance à s’évaporer si l’objectif n’est pas bien évalué dès le départ.

Vous pourrez maintenir votre objectif élevé sur le court terme : par exemple, faire une séance de sport d’une heure tous les jours pendant une semaine. Mais par la suite, très vite vous allez renoncer. L’objectif d’une heure de sport quotidienne est déconnecté de la réalité. Le but est d’intégrer le sport sur le long terme, pas seulement sur une semaine. Le facteur « temps » est à prendre en compte. Il faut avoir à l’esprit qu’au bout d’un moment, la motivation de départ, l’enthousiasme que l’on a quand on se lance, va retomber. Il sera plus difficile de passer à l’action. Voilà pourquoi il est très intéressant d’avoir un objectif minimal.

Il sera beaucoup plus facile d’intégrer 30 minutes de marche quotidienne que de faire des randonnées de 2 heures 3 fois par semaine.

4/ Réduire la friction

La friction est toutes ces petites étapes qui viennent parasiter le démarrage de la nouvelle habitude.
Les jours où vous avez décidé de faire du sport, préparez vos affaires bien en évidence et habillez-vous dès que possible et restez focus sur votre départ.
Ici, la friction est liée à devoir vous changer pour vous mettre en tenue de sport. Au plus tôt vous avez revêtu votre tenue de sport, au plus tôt votre inconscient aura compris que l’action est déjà engagée et qu’il n’y a plus de retour arrière possible.

Cette friction est presque impalpable par le conscient à l’échelle d’une journée, mais pourtant si vous la multiplier par le nombre de vos séances, tout cela nécessitera une grosse quantité d’énergie qui vous poussera vers la procrastination.

5/ Utiliser un outil de « tracking »

Un outil de tracking vous permet de garder une trace sur les performances passées. Mais avant tout, il faut comprendre le principe de la chaîne : quand on a une habitude quotidienne, plus vous allez passer à l’action jour après jour, plus vous aurez une chaîne de journées « réussies ».

Imaginons que vous méditiez tous les jours pendant une semaine, la chaîne va être composée de 7 maillons. Si le huitième jour, vous ne méditez pas, et bien vous allez briser cette chaîne. Si vous prenez la peine de visualiser la taille de cette chaîne avec un outil de tracking, plus cette chaîne sera grande, plus cela fera longtemps que vous avez mis en place cette nouvelle habitude.  Plus vous vous sentirez fier de vous, plus vous serez attaché émotionnellement à cette chaîne d’habitude.

Le fait de suivre vos habitudes quotidiennes avec un outil va créer une sorte de motivation à ne pas rater un seul jour.

Conclusion

Voilà ! Vous avez maintenant les clés pour initier de nouvelles habitudes et vous y tenir !
Et n’oubliez pas, ce sont les petits pas qui mènent vers le succès !

Si vous avez des questions, je vous invite à les poser à Laurence VIRTON, NATUROPHE A SAINT-SAVIN avec qui j’ai rédigé cet article.

N’hésitez pas à la contacter par mail : contact@virtonnaturopathe.fr et je vous invite également à consulter son site internet www.virtonnaturopathe.fr si vous souhaitez en savoir plus sur la santé au naturel et ses services..

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24Nov

LES PLANTES QUI ACCOMPAGNENT L’ACTIVITÉ SPORTIVE

24 novembre 2020 Kikourvite Non classé 102

PHYTOTHÉRAPIE ou comment se soigner avec les plantes

La phytothérapie propose des solutions afin de se soigner avec les plantes. Que ce soit pour mieux dormir ou en atout minceur, la phytothérapie, c’est-à-dire l’ensemble des plantes médicinales, permet de remédier à des problèmes du quotidien de manière naturelle. C’est une solution à la fois alternative et complémentaire aux traitements de la médecine classique, de plus en plus en vogue et dont l’efficacité est de plus en plus reconnue.

Alors pourquoi ne pas profiter de ses bienfaits en accompagnement de l’activité sportive ?

Soigner nos petits bobos, doper naturellement nos performances, et mieux récupérer après l’effort, voici les plantes qui seront vos alliées !

Cependant, les plantes ne sont pas des remèdes anodins, ne jamais dépasser les doses indiquées.

L’ARNICA : Contre les courbatures, les élongations musculaires et les bleu

  • Nom  latin : Arnica montana
  • Partie utilisée : La fleur
  • Nom vulgaire : Herbe vulnéraire, tabac des Vosges, quinquina des pauvres, herbe-aux-chutes
  • Famille : Astéracées

L’arnica est la plante anti-ecchymoses par excellence !

Cette jolie fleur sauvage qui pousse dans les pâturages des zones montagneuses d’Amérique du nord est utilisée depuis l’Antiquité par voie externe pour ses propriétés anti-inflammatoires, anticoagulantes et analgésiques. Elle soigne des blessures non ouvertes ou à des traumatismes : coups, bosses, hématomes, foulures, œdèmes.

Comment l’utiliser ?

Appliquer le plus rapidement possible après le traumatisme sur une peau non ouverte et à distances des muqueuses

  • Compresses : imbiber un linge de teinture-mère (1/4 de teinture mère pour ¾ d’eau) et appliquer sur la zone atteinte pendant 10 à 15 mn, jusqu’à 3 fois par jour.
  • Crèmes ou gels à base d’extraits : appliquer par massage léger jusqu’à pénétration complète jusqu’à 2 ou 3 fois par jour.

Précautions d’emploi : toxique par voie orale sauf en préparation homéopathique. Ne doit pas être utilisée près des yeux, de la bouche, sur des plaies et chez les enfants de moins de 3 ans.

La GAULTHÉRIE COUCHÉE OU ODORANTE : antidouleur

  • Nom  latin : Gaulthéria procumbens
  • Partie utilisée : feuilles et baies pour la fabrication de l’huile essentielle
  • Nom vulgaire : thé des bois ou pomme de terre ou thé rouge
  • Famille : Ericacées

C’est la plante « must have » des sportifs !

Et pour cause : concentré de salicylate de méthyle, il s’agit d’un analogue de l’aspirine. Ses propriétés analgésiques et anti-inflammatoires apaisent presque instantanément bon nombre d’affections douloureuses : crampes, contractures, douleurs articulaires, musculaires et tendineuses. Elle est très prisée, notamment des trailers. Utilisée avant l’effort, elle échauffe les muscles.

Comment l’utiliser ?

  • en huile essentielle : diluer 2 à 5 gouttes d’huile essentielle de gaulthérie dans une « noix » d’huile végétale d’arnica dans le creux de la main puis masser les zones douloureuses et les muscles après l’effort : jambes, dos, épaule, cou, poignets…
  • en cas de contractures ou courbatures, appliquer ce mélange 3 à 4 fois par jour pendant 7 jours

Précautions d’emploi : ne pas utiliser cette huile essentielle pure car elle est irritante pour la peau. Contre-indiquée en cas de grossesse, d’allergie à l’aspirine et de prise d’anticoagulants.

RHODIOLA ROSEA : pour booster le physique et le mental

  •  Non latin : Rhodiola rosea
  • Partie utilisée : La racine séchée
  • Nom vulgaire : Racine d’or, orpin rose, rhodiole
  • Famille : Crassulacées

Cette plante originaire des hautes montagnes glaciales a une action adaptogène : améliore la résistance du corps aux efforts intenses et/ou en altitude, elle diminue le stress (idéal avant une compétition !). Elle augmente l’endurance et diminue la fatigue physique et nerveuse, elle agit comme dopant naturel.

De plus elle exerce une action anti-inflammatoire, antidiabétique et immunostimulante

Comment l’utiliser ?

  • sous forme d’extrait fluide ou de gélules : prendre 500mg / jour plutôt le matin ou à midi, pour bénéficier de ses effets « antifatigue » dans la journée.

Précautions d’emploi : déconseillé aux femmes enceintes ou qui allaitent. Elle ne doit pas être administrée aux personnes surexcitées et est susceptible d’entrainer des insomnies

CURCUMA : contre les crampes, anti-inflammatoire et digestif

  • Nom  latin : Curcuma longa
  • Partie utilisée : Le rhizome
  • Nom vulgaire : Safran des Indes
  • Famille : Zingibéracées

Cette épice couleur jaune d’or (due à un pigment, la curcumine) a, entre autres, des propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes très prisées pour les sportifs. Le curcuma permet de mieux récupérer après une compétition, de lutter contre les inflammations type tendinites, de soulager les douleurs articulaires et d’apaiser les infections et troubles digestifs – notamment avant et pendant une compétition. Il s’associe bien avec de l’Harpagophytum (voir ci-dessous).

Comment l’utiliser ?

  • En infusion : une cuillère à café rase (environ 1g) de rhizome séché ou une tranche de curcuma frais (environ 10g) à faire infuser dans 150ml d’eau frémissante pendant 10 à 15mn. Boire 2 à 3 tasses par jour.
  • Sous forme de poudre : 1g de curcumine 1 à 3 fois par jour entre les repas ou de teinture mère, d’extrait fluide ou de gélules pour soulager les douleurs articulaires.

Précautions d’emploi : Le curcuma est contre-indiqué en cas d’obstruction des voies biliaires et d’allergie à la plante, ainsi qu’aux femmes enceintes ou qui allaitent. Demander un avis médical.

L’HARPAGOPHYTON : pour les articulations douloureuses, tendinites et courbatures

  • Nom  latin : Harpagophytum procubens
  • Partie utilisée : Les racines secondaires
  • Nom vulgaire : Griffe du diable, racine de Windhock
  • Famille : Pédaliacées

Cette herbacée vivace originaire des régions semi désertiques d’Afrique du Sud et centrale est reconnue pour ses vertus anti-inflammatoires et antidouleur. On utilise sa racine qui améliore la souplesse et la mobilité des articulations, prévient les crampes, atténue les tendinites, foulures, douleurs musculaires, diminue le temps de récupération après une rupture de tendon ou de ligament.

Comment l’utiliser ?

Elle est encore plus efficace quand elle est associée à du curcuma, du gingembre ou du poivre noir (pour une bonne assimilation). Associée à l’ortie ou la prèle, elle permet de reconstituer le tendon lésé.

  • En gélules dosée à 250 mg : prendre 2 à 3 g par jour au moment des repas durant 3 semaines. Interrompre la cure avant d’en entamer une autre.
  • En infusion : 1 sachet dose dans 20 cl d’eau bouillante 1 à 3 fois par jour (pour atténuer l’amertume sucrer avec du miel)

Précautions d’emploi : déconseillé en cas d’ulcère gastrique ou de calculs biliaires ainsi qu’aux femmes enceintes ou qui allaitent.

Je vous invite à poser toutes vos questions Laurence VIRTON, NATUROPHE A SAINT-SAVIN et la rencontrer afin de vous éclairer sur sa pratique en tant que Naturopathe.

Pour plus d’informations, ou si vous avez des questions, n’hésitez pas à la contacter par mail : contact@virtonnaturopathe.fr

Je vous invite également à consulter son site internet www.virtonnaturopathe.fr si vous souhaitez en savoir plus sur la santé au naturel.

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