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course à pied

Home / Blog / course à pied
05Avr

Lexique de la course à pied : enfin des explications claires pour tout comprendre

5 avril 2025 Kikourvite Non classé 14

Quand on se met sérieusement à courir (ou qu’on tombe dans la marmite du running), on découvre un univers avec ses codes, ses expressions… et son jargon. Voici un lexique complet, rédigé avec des mots simples, des exemples concrets et une touche de bonne humeur, pour mieux comprendre ce que vous faites en courant.

1. Endurance fondamentale

C’est la base de votre entraînement, le socle de votre progression. On parle ici d’une allure tranquille, confortable, où vous pourriez parler sans souci. Elle développe vos capacités aérobie, renforce votre cœur, et prépare le corps à encaisser plus d’effort… sans s’épuiser.

Exemple : un footing de 45 minutes, en pleine conversation, sans transpirer comme sous une serre tropicale.

2. VMA – Vitesse Maximale Aérobie

La VMA, c’est la vitesse maximale à laquelle votre corps utilise l’oxygène au maximum de ses capacités. C’est une vitesse que l’on peut tenir entre 4 et 8 minutes. On s’en sert pour calibrer les séances de fractionné et de vitesse.

Exemple : si votre VMA est de 14 km/h, vous pouvez courir 6 minutes à cette allure. Vous ferez par exemple des 400 mètres à cette vitesse, pour travailler la puissance.

3. Seuil (anaérobie)

Le seuil, c’est cette zone charnière où votre cœur commence à battre franchement vite, mais où vous restez encore capable de tenir l’effort pendant plusieurs minutes. C’est un peu la frontière entre “je suis bien” et “je sens que ça devient sérieux”. On est encore en contrôle, mais la marge commence à se réduire.

Travailler au seuil permet d’augmenter votre capacité à soutenir un effort élevé plus longtemps. C’est super utile pour progresser sur les courses type 10 km ou semi-marathon, où on flirte justement avec cette intensité.

Exemple : courir 2 x 15 minutes à l’allure d’un 10 km, en ressentant une respiration accélérée, mais régulière. Vous pouvez encore dire une phrase, mais sûrement pas raconter votre week-end.

Fréquence cardiaque indicative : 85–90 % de votre fréquence cardiaque maximale. C’est le moment où le cardio est haut, mais pas encore en zone rouge. C’est exigeant, mais vous tenez le rythme… à condition de rester concentré.

4. Tempo

L’allure tempo, c’est un peu l’entre-deux. Plus rapide que l’endurance, mais moins intense que le seuil. C’est une allure soutenue, régulière, qu’on peut tenir une trentaine de minutes sans exploser.

Exemple : courir 25 minutes à une allure rapide mais stable, où la respiration s’accélère mais reste sous contrôle.

5. Anaérobie

Le monde sans oxygène. Ici, l’effort est tellement intense que l’oxygène ne suffit plus, et le corps produit rapidement de l’énergie… mais au prix d’une grosse fatigue. L’acide lactique monte, et vous ne tiendrez que quelques secondes ou minutes.

Exemple : des sprints de 30 secondes, très rapides, avec de longues récupérations. Vous bossez votre tolérance à la douleur… et vos limites.

6. Aérobie

C’est votre zone de confort énergétique. Vous utilisez l’oxygène pour produire de l’énergie, de manière durable. C’est le terrain de l’endurance fondamentale, des sorties longues, du footing du dimanche matin.

Exemple : un jog de 1h à un rythme où vous pouvez parler, regarder autour de vous, et profiter du moment.

7. Fartlek

Un mot suédois qui veut dire “jeu de vitesse”. Une méthode d’entraînement libre, où vous variez les allures selon votre inspiration, sans programmation stricte. Ludique et efficace !

Exemple : accélérer entre deux arbres, récupérer, relancer sur 1 minute, puis trottiner. Un vrai jeu d’enfant… mais pour adultes qui transpirent.

8. Fractionné

C’est l’entraînement qui alterne phases d’effort intense et récupérations. Il permet d’améliorer la vitesse, la VMA, le mental et même la VO2 max. Pas facile, mais ultra-efficace.

Exemple : 10 x 400 mètres à allure rapide, récup 1 min. On souffle, on relance, on se dépasse.

9. Gainage

Ce sont les exercices qui renforcent les muscles profonds du tronc (abdos, lombaires, dos). Le gainage vous aide à rester droit, stable, et à limiter les douleurs en fin de course.

Exemple : tenir la planche pendant 45 secondes, puis enchaîner avec des planches latérales. Ça chauffe, mais c’est du solide.

10. Plyométrie

Des mouvements explosifs pour booster votre puissance et vos appuis. Très utile pour les coureurs qui veulent gagner en dynamisme ou travailler les relances.

Exemple : fentes sautées, squats avec sauts, rebonds. C’est court, intense… et redoutablement efficace pour les jambes.

11. Surcompensation

C’est le super pouvoir de l’entraînement bien géré. Après une séance difficile, votre corps ne se contente pas de revenir à la normale : il reconstruit plus fort. À condition de lui laisser le temps de récupérer.

Exemple : après une séance dure le mardi, si vous dormez bien et mangez correctement, vous serez plus performant le jeudi. Le corps s’adapte. Et vous progressez.

12. Pic de forme

C’est le sommet de votre préparation, le moment où tout s’aligne : jambes légères, souffle au top, moral d’acier. Il arrive souvent après une phase de baisse de charge avant une compétition.

Exemple : la semaine avant votre 10 km, vous courez moins, mais vous sentez que tout est prêt. C’est le pic. Ne le ratez pas !

➕ Bonus : ne pas confondre…

Parce que certains termes sont proches, voici quelques rappels utiles :

  • Aérobie ≠ Anaérobie : L’un fonctionne avec oxygène (endurance), l’autre sans (efforts courts et violents). L’aérobie, c’est courir longtemps ; l’anaérobie, c’est sprinter fort… mais brièvement.
  • VMA ≠ Endurance fondamentale : La VMA est votre limite haute d’effort aérobie ; l’endurance fondamentale est à l’opposé, dans la douceur. Ne courez pas tous vos footings à VMA, sauf si vous aimez les blessures.
  • Seuil ≠ Tempo : Le tempo est une allure rapide mais encore confortable. Le seuil est plus exigeant, à la limite du rouge. Deux efforts utiles… mais à ne pas mélanger.
  • Fartlek ≠ Fractionné : Le fractionné est précis, structuré. Le fartlek est libre, intuitif. Deux façons différentes de jouer avec la vitesse.
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04Avr

Épaules crispées en course à pied : une perte d’énergie qu’on peut éviter

4 avril 2025 Kikourvite Non classé 12

Quand on court, on pense souvent à ses jambes, à son souffle, à ses chaussures. Mais combien de fois avez-vous pensé à vos épaules ? Trop souvent négligées, elles peuvent pourtant être à l’origine de tensions inutiles, de douleurs, et surtout… de gaspillage d’énergie. Des épaules trop tendues, ce sont des watts perdus à chaque foulée.

1. Pourquoi des épaules tendues vous fatiguent plus vite ?

En course à pied, chaque partie du corps a son rôle. Les bras, et donc les épaules, contribuent à l’équilibre du mouvement. Quand vos bras bougent librement, en rythme avec vos jambes, votre foulée est fluide, naturelle. Mais lorsque les épaules montent, se figent, ou restent contractées, tout se bloque. Le haut du corps se tend, le cou durcit, la respiration devient plus courte, et vous consommez de l’énergie… pour rien.

Une tension continue dans les épaules crée une crispation générale qui freine la mécanique globale. Vous ne courez plus dans un mouvement souple, mais dans une lutte constante contre vous-même. Et cette lutte, votre corps la paie : en fatigue, en inconfort, et parfois en douleurs au niveau des trapèzes ou du haut du dos.

2. Détendre les épaules, un réflexe à adopter en courant

Bonne nouvelle : cela se corrige facilement, et surtout, ça change tout. Pendant votre course, pensez à vérifier régulièrement votre posture. Vos épaules doivent être basses, relâchées, éloignées des oreilles. Si vous sentez de la tension, faites un petit mouvement d’épaule vers l’arrière, secouez légèrement les bras… et relâchez.

Un autre bon repère : vos mains. Si elles sont fermées, contractées, vos épaules le seront aussi. Essayez de courir avec les mains souples, comme si vous teniez un œuf fragile que vous ne voulez pas casser. Ce simple geste détend tout le haut du corps.

3. Des exercices simples pour apprendre à relâcher

Avant de courir, prenez quelques instants pour faire des rotations d’épaules, des étirements du cou, ou quelques grandes respirations profondes. Ce mini-rituel prépare vos muscles à bouger librement.

Vous pouvez aussi intégrer des exercices de mobilité ou de renforcement doux du haut du corps, une à deux fois par semaine. Le but ? Équilibrer votre posture, éviter les tensions récurrentes, et renforcer les muscles posturaux. Pas besoin de gros efforts : des élastiques, quelques minutes de gainage, des mouvements lents et contrôlés suffisent largement.

4. Une course plus fluide, plus confortable

Quand vos épaules sont détendues, vos bras balancent mieux, votre respiration est plus ample, votre cou est libre. Votre foulée s’harmonise. Vous gagnez en économie de mouvement, donc en endurance. Et surtout, vous courez avec moins de fatigue musculaire et plus de confort.

Le running, ce n’est pas que les jambes. C’est tout le corps, du bout des orteils jusqu’à la pointe des épaules. Alors la prochaine fois que vous partez courir, pensez-y : relâchez les épaules, vous gagnerez en énergie, en plaisir, et en légèreté.

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04Avr

Coordination bras-jambes en course à pied : l’art de courir avec tout son corps

4 avril 2025 Kikourvite Non classé 10

Lorsqu’on évoque la course à pied, l’attention se porte souvent sur les jambes, ces moteurs évidents de notre avancée. Pourtant, négliger le rôle des bras serait une erreur. La coordination entre les bras et les jambes est essentielle pour une foulée efficace, une meilleure stabilité et une économie d’énergie optimale.​

L’importance des bras dans la course

À chaque foulée, nos bras et nos jambes travaillent en tandem dans un mouvement croisé naturel : le bras droit avance en même temps que la jambe gauche, et inversement. Ce balancier des bras n’est pas qu’un simple réflexe ; il joue un rôle clé dans la stabilisation du corps et la réduction des mouvements parasites. En effet, une bonne coordination bras-jambes permet de minimiser les rotations indésirables du torse, favorisant ainsi une trajectoire plus rectiligne et une dépense énergétique moindre.​

Les bénéfices d’une coordination optimale

  1. Amélioration de l’équilibre et de la stabilité : Les bras agissent comme des balanciers, aidant à maintenir l’équilibre, notamment sur des terrains irréguliers ou lors de changements de direction.​
  2. Augmentation de l’efficacité de la foulée : Un mouvement harmonieux des bras peut contribuer à une meilleure propulsion, rendant chaque pas plus efficace et réduisant la fatigue musculaire.​
  3. Prévention des blessures : Une coordination adéquate réduit les tensions asymétriques sur le corps, diminuant ainsi le risque de blessures liées à des déséquilibres musculaires ou posturaux.​

Exercices pour améliorer la coordination bras-jambes

Pour optimiser cette synergie, il est bénéfique d’intégrer des exercices spécifiques à votre routine d’entraînement :

  • Course avec accentuation du mouvement des bras : Lors de vos séances, focalisez-vous sur un balancement ample et contrôlé des bras, en veillant à ce qu’ils restent parallèles au corps et que les coudes forment un angle d’environ 90 degrés.​
  • Drills de coordination : Des exercices tels que les montées de genoux avec un mouvement exagéré des bras ou les pas chassés en synchronisant bras et jambes peuvent renforcer cette connexion neuromusculaire.​
  • Entraînement de l’agilité : Des exercices comme les échelles de rythme ou les slaloms entre des cônes sollicitent la coordination et améliorent la réactivité des membres supérieurs et inférieurs.​

En somme, considérer la course à pied comme une activité engageant l’ensemble du corps, et non uniquement les jambes, est essentiel. Travailler la coordination bras-jambes peut transformer votre expérience de course, la rendant plus fluide, efficace et agréable.

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04Avr

Renforcer les adducteurs et abducteurs : un secret bien gardé des coureurs malins

4 avril 2025 Kikourvite Article, Article, Article, Article, Article, Article, Article, Article, Article, Article 14

Pourquoi ces muscles sont-ils essentiels pour les coureurs ?

Quand on pense à la course à pied, on imagine d’abord les jambes qui déroulent, le souffle qui s’ajuste, le cœur qui s’emballe un peu. Mais derrière cette mécanique apparente se cache un travail de fond essentiel : celui des muscles stabilisateurs. Et parmi eux, les adducteurs et abducteurs jouent un rôle aussi discret qu’indispensable. Les ignorer, c’est courir avec un château de cartes. Les renforcer, c’est poser les fondations d’un coureur solide, efficace… et moins blessé.

Les adducteurs sont les muscles situés à l’intérieur de vos cuisses. Leur mission ? Ramener la jambe vers l’axe du corps. Ce sont eux qui participent à la bonne tenue de vos jambes, à chaque pas, à chaque appui. En miroir, les abducteurs, situés à l’extérieur de la hanche (moyen fessier, petit fessier), permettent à la jambe de s’écarter vers l’extérieur. Ce duo assure l’équilibre latéral du bassin et évite les mouvements parasites dans la foulée. Autrement dit : ils stabilisent tout le haut de votre jambe, absorbent les déséquilibres et maintiennent votre alignement pendant l’effort.

Les risques d’un manque de renforcement

Un déséquilibre ou un manque de force dans ces muscles peut entraîner des douleurs à l’aine, des tiraillements, des compensations au niveau du genou, voire des pathologies plus sérieuses comme la pubalgie. Ce sont aussi eux qui souffrent lorsque vous courez en côte, sur terrain instable ou en fin de course, quand la fatigue vous fait perdre en précision. Bref, ce sont de véritables gardiens de votre efficacité de course.

Comment les renforcer simplement et efficacement

Heureusement, il suffit de peu pour les renforcer. Pas besoin de machines de muscu sophistiquées ni de séances interminables. Quelques exercices simples intégrés à votre semaine d’entraînement peuvent faire une vraie différence. Des squats sumo, avec les jambes écartées pour cibler les adducteurs. Des fentes latérales, qui activent les abducteurs. Des élévations de jambes sur le côté ou en position couchée. Et bien sûr, du gainage latéral, qui travaille aussi la sangle abdominale tout en sollicitant les muscles de la hanche.

En les renforçant régulièrement, vous allez non seulement prévenir les blessures, mais aussi courir plus fluide, plus stable. Votre foulée devient plus efficace, vos appuis plus francs, votre posture plus droite. Vous ressentez moins de fatigue sur la durée, car votre corps absorbe mieux les impacts et tient mieux l’alignement.

Renforcer les adducteurs et abducteurs, ce n’est pas un luxe, c’est un passage obligé pour tout coureur qui veut durer. Alors ne les oubliez pas dans votre routine. Un peu de travail ciblé chaque semaine peut faire toute la différence sur votre confort, vos performances et surtout votre plaisir de courir.

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05Fév

Course à pied et arthrose : et si courir faisait du bien à vos genoux ?

5 février 2025 Kikourvite Non classé 37

L’arthrose et le sport font rarement bon ménage dans l’imaginaire collectif. Et pourtant, courir n’abîme pas forcément vos articulations ! Mieux encore, plusieurs études récentes tendent à prouver que la course à pied, pratiquée avec modération et intelligence, pourrait même protéger vos genoux et vos hanches. Alors, rangez cette peur au placard et enfilez vos baskets, on vous explique tout !

Courir et préserver ses articulations : un mythe ? Pas du tout !

Il est grand temps de tordre le cou à cette idée reçue selon laquelle courir userait le cartilage. En réalité, les coureurs récréatifs présentent moins d’arthrose que les personnes sédentaires. Une étude publiée dans le Journal of Orthopaedic & Sports Physical Therapy a même montré que les risques d’arthrose du genou et de la hanche sont plus faibles chez les coureurs que chez ceux qui ne courent pas du tout. Comme quoi, bouger, c’est bon pour les articulations !

Ce paradoxe s’explique par un phénomène simple : courir stimule la production de liquide synovial, cette précieuse lubrification naturelle qui nourrit le cartilage et améliore son élasticité. Autrement dit, vos articulations ne sont pas de la porcelaine : elles ont besoin d’un peu d’action pour rester en forme !

Les bienfaits insoupçonnés du running sur l’arthrose

Courir de façon raisonnée, c’est comme offrir à ses articulations une séance de fitness sur-mesure. Voici pourquoi :

  • Les muscles travaillent : des jambes musclées, c’est autant de soutien pour les genoux et les hanches. Moins de pression, moins d’usure.
  • Le cartilage est nourri : l’impact du pied sur le sol stimule sa régénération, un peu comme une éponge qui se gorge d’eau avant de la redistribuer.
  • L’inflammation diminue : l’exercice modéré réduit les inflammations chroniques et améliore la circulation sanguine.

Alors oui, trop d’excès pourrait être néfaste – les marathoniens et les ultra-traileurs en savent quelque chose – mais si vous courez sans excès et avec une bonne technique, vos genoux vous diront merci.

Courir sans douleur : mode d’emploi

Tout est une question d’équilibre. Courir, oui, mais pas n’importe comment ! Voici quelques astuces pour profiter des bienfaits du running sans risquer de froisser vos articulations :

  • Commencez en douceur : inutile de viser un semi-marathon dès la première sortie. Progressez progressivement pour laisser à votre corps le temps de s’adapter.
  • Choisissez de bonnes chaussures : vos articulations méritent un amorti de qualité. Un professionnel pourra vous aider à trouver la paire idéale.
  • Privilégiez les terrains souples : l’herbe, les chemins de forêt ou les pistes en tartan sont plus doux que le bitume. Vos genoux apprécieront.
  • Alternez avec d’autres sports : un peu de natation ou de vélo pour varier les plaisirs et limiter les impacts, c’est le combo gagnant.
  • Écoutez votre corps : une douleur persistante ? Ne forcez pas, et pourquoi ne pas demander conseil à un spécialiste ? Mieux vaut prévenir que guérir.

En conclusion : courez, mais courez malin !

Loin d’être un facteur aggravant de l’arthrose, la course à pied, pratiquée intelligemment, peut être une véritable alliée pour vos articulations. Bouger entretient le cartilage, renforce les muscles et améliore la souplesse. Et si vous avez des doutes, un petit détour par un professionnel de santé du sport ne peut être qu’un plus.

Alors, prêt à ressortir vos baskets ?

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09Jan

Syndrome de l’essuie-glace : Comprendre et Prévenir Cette Blessure Courante

9 janvier 2025 Kikourvite Non classé 39

Le syndrome de l’essuie-glace, ou syndrome de la bandelette ilio-tibiale, est une pathologie fréquente chez les coureurs, cyclistes et autres sportifs pratiquant des activités répétitives. Caractérisé par une douleur latérale au genou, ce syndrome peut freiner les performances si on ne le traite pas rapidement.

Qu’est-ce que le syndrome de l’essuie-glace ?

La bandelette ilio-tibiale est un tendon épais situé sur la face externe de la cuisse, reliant la hanche au tibia. Lors d’un mouvement répétitif, comme la course ou le pédalage, cette bandelette peut frotter contre la partie externe du genou, provoquant une inflammation et une douleur. Ce frottement répété, qui ressemble au mouvement d’un essuie-glace, donne son nom à ce syndrome.

Les causes principales du syndrome

1. Surcharge et surentraînement

Une augmentation brutale de l’intensité ou de la durée des entraînements est souvent à l’origine du problème. Le surmenage musculaire et l’absence de repos amplifient les tensions au niveau de la bandelette.

2. Facteurs anatomiques et biomécaniques

Les pieds plats, les genoux en valgus (en X) ou un déséquilibre musculaire entre les quadriceps et les ischio-jambiers peuvent accentuer le frottement de la bandelette. Ces anomalies biomécaniques rendent certains athlètes plus vulnérables.

3. Matériel inadapté

Chez les coureurs, le port de chaussures usées ou non adaptées à leur foulée peut provoquer une surcharge au niveau du genou. Pour les cyclistes, une mauvaise position de la selle ou des pédales peut entraîner un stress excessif sur la bandelette.

Les symptômes du syndrome de l’essuie-glace

La douleur est le principal symptôme. Elle se situe sur la face externe du genou et apparaît généralement après un certain temps d’effort. Initialement, elle survient uniquement pendant l’activité, mais si le syndrome progresse, la douleur peut persister au repos. Dans les cas avancés, des sensations de brûlure ou de tension peuvent être ressenties dans la région touchée.

UNE SOLUTION AVEC LE RK-1

Comment traiter le syndrome de l’essuie-glace ?

1. Repos et réduction de l’effort

Il est crucial de diminuer ou d’arrêter l’activité déclenchant la douleur. Le repos permet à l’inflammation de diminuer et évite d’aggraver la blessure.

2. Étirements et renforcement musculaire

Des exercices d’étirement ciblant la bandelette ilio-tibiale, les quadriceps et les ischio-jambiers peuvent réduire les tensions. Le renforcement musculaire, en particulier des hanches et des fessiers, aide à corriger les déséquilibres.

3. Application de glace et anti-inflammatoires

L’application de glace sur la zone douloureuse après l’effort est efficace pour réduire l’inflammation. Dans certains cas, un médecin peut recommander des anti-inflammatoires ou des infiltrations de corticoïdes.

4. Révision du matériel et de la technique

Pour les coureurs, investir dans des chaussures adaptées et réaliser une analyse de foulée peut prévenir les récidives. Les cyclistes, quant à eux, doivent s’assurer que leur vélo est réglé correctement.

Prévenir le syndrome de l’essuie-glace

La prévention repose sur des entraînements progressifs et variés. Évitez d’augmenter brusquement la charge de travail et intégrez des exercices de renforcement musculaire dans votre routine. Assurez-vous de porter des équipements adaptés à votre activité et n’oubliez pas de vous échauffer correctement avant chaque séance.

Conclusion

Le syndrome de l’essuie-glace est une blessure fréquente mais évitable avec une bonne préparation et des gestes adaptés. En cas de douleur persistante, il est important de consulter un professionnel de santé pour un diagnostic précis et un traitement adapté.

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05Sep

La Fin des Certificats Médicaux pour les Courses : Une Nouvelle Ère avec le PPS « Prévention Parcours Santé »

5 septembre 2024 Kikourvite Non classé 39

Depuis des années, les certificats médicaux étaient le sésame indispensable pour participer à une course à pied en France. Mais cette époque est désormais révolue. En effet, depuis septembre 2024, avec l’introduction du PPS « Prévention Parcours Santé » par la Fédération Française d’Athlétisme (FFA), une nouvelle dynamique est en train de se mettre en place, favorisant une approche plus personnalisée et préventive de la santé des sportifs. Découvrons ensemble cette révolution qui va bouleverser l’univers des courses à pied.

Pourquoi la Fin des Certificats Médicaux ?

Jusqu’à récemment, les coureurs devaient fournir un certificat médical de non-contre-indication (CMNCI) datant de moins d’un an pour pouvoir s’inscrire à des compétitions. Ce système, bien qu’étant une mesure de précaution, présentait plusieurs inconvénients :

  • Bureaucratie lourde : Chaque année, les coureurs devaient renouveler leur certificat, engendrant des démarches souvent coûteuses et fastidieuses.
  • Peu de suivi personnalisé : Un simple certificat médical ne garantit pas un suivi médical approfondi ou continu de la santé du coureur.

Le PPS « Prévention Parcours Santé » propose une alternative plus efficace et plus adaptée aux besoins des coureurs et des organisateurs de courses. Il vise à remplacer les certificats médicaux par un système de suivi et de prévention personnalisé.

Qu’est-ce que le PPS « Prévention Parcours Santé » ?

Le PPS « Prévention Parcours Santé » est un programme innovant mis en place par la Fédération Française d’Athlétisme (FFA). Ce système repose sur un accompagnement médical personnalisé, qui va bien au-delà du simple certificat médical. Voici les principaux aspects du PPS :

1. Un Suivi Médical Régulier et Personnalisé

Le PPS propose aux coureurs de réaliser un bilan de santé personnalisé, adapté à leur niveau de pratique, leur âge et leurs antécédents médicaux. Ce bilan est mis à jour régulièrement, permettant un suivi continu de l’état de santé du coureur, en évitant les risques de blessure ou de problèmes de santé plus graves.

2. Prévention et Education à la Santé

Au-delà du suivi médical, le PPS intègre un volet éducation à la santé. Les coureurs bénéficient de conseils personnalisés sur la nutrition, l’hydratation, l’entraînement, la récupération, et bien plus encore. Cette approche globale vise à améliorer les performances tout en minimisant les risques.

3. Une Plateforme Numérique Intégrée

Le PPS repose sur une plateforme numérique innovante qui permet aux coureurs de centraliser toutes les informations relatives à leur santé et à leur entraînement. Cette plateforme est accessible tant aux coureurs qu’aux médecins, permettant un partage d’informations fluide et sécurisé.

4. Accessibilité et Facilité

Contrairement aux certificats médicaux traditionnels, le PPS est plus accessible et moins contraignant pour les coureurs. Fini les rendez-vous médicaux annuels uniquement pour obtenir un papier ! Avec le PPS, tout est centralisé et optimisé pour faciliter la vie des participants.

Les Bénéfices pour les Coureurs et les Organisateurs

Pour les Coureurs

  • Moins de contraintes administratives : Plus besoin de fournir un certificat médical chaque année.
  • Un meilleur suivi de santé : Grâce à un accompagnement personnalisé et régulier.
  • Conseils de prévention adaptés : Les coureurs ont accès à des ressources pour améliorer leur pratique et réduire les risques.

Pour les Organisateurs

  • Simplicité de gestion : Moins de paperasse à gérer pour vérifier les certificats.
  • Sécurité renforcée : Les coureurs sont mieux préparés et suivis, réduisant les risques d’incidents pendant les courses.
  • Une image modernisée : Un système en phase avec les nouvelles attentes des coureurs et les avancées technologiques.

Restrictions d’Âge : Un Système Ouvert à Tous

Le PPS « Prévention Parcours Santé » est accessible à tous les coureurs, avec une généralisation progressive à partir du 1er septembre 2024. Toutefois, ce système s’adresse principalement aux personnes majeures. Les participants mineurs doivent toujours remplir un questionnaire spécifique et, si nécessaire, fournir un certificat médical, conformément à la réglementation en vigueur pour les jeunes coureurs. Cette distinction assure que tous, quel que soit leur âge, participent à la course dans les meilleures conditions de sécurité et de santé ​(Parcours de Prévention Santé – FFA).

Comment S’inscrire au PPS ?

Pour adhérer au PPS « Prévention Parcours Santé », les coureurs doivent s’inscrire via le site dédié de la Fédération Française d’Athlétisme (pps.athle.fr). L’inscription est simple et rapide, et elle permet d’accéder à un suivi de santé personnalisé en ligne.

Conclusion

Le PPS « Prévention Parcours Santé » marque un tournant majeur dans le monde de la course à pied en France. En remplaçant les certificats médicaux par un suivi personnalisé et en intégrant des outils de prévention et d’éducation à la santé, la FFA ouvre la voie à une pratique sportive plus sûre, plus saine, et mieux encadrée. Une véritable révolution qui promet de rendre la course à pied plus accessible et plus attractive pour tous !

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06Fév

Il n’existe pas une bonne façon de courir

6 février 2023 Kikourvite Non classé 53

Qu’y a-t-il derrière les chaussures avancées de Brooks ?

Les scientifiques en biomécanique du laboratoire de recherche Brooks sur le running étudient et analysent méticuleusement la mécanique du mouvement humain pour mieux comprendre comment aider à prévenir les blessures, améliorer le confort et améliorer les performances.

Ils ont constaté que chaque personne a sa propre façon de courir, définie par sa trajectoire de mouvement habituelle. Ils appellent cela votre Run Signature.

Jetons un œil à quelques-unes de leurs découvertes.

Votre façon naturelle de courir

Grâce à des années d’études du corps en mouvement, l’équipe de recherche Brooks a découvert que les articulations des runners possèdent une trajectoire de moindre résistance, ou trajectoire de mouvement habituelle.

Lorsque les articulations d’un runner s’écartent de leur trajectoire de mouvement habituelle pendant un run, leurs genoux peuvent être soumis à une plus grande charge, ce qui peut entraîner des blessures.

Leurs ingénieurs chaussures se sont inspirés de ces découvertes pour développer une technologie de running avancée qui ne corrige pas votre run: vos chaussures brooks optimisent et soutiennent votre signature de running distinctive.

Sur la base de ces découvertes scientifiques, les ingénieurs chaussures Brooks ont développé le système de soutien GuideRails, leur technologie de running avancée pour les runners qui s’écartent de leur trajectoire de mouvement habituelle.

GuideRails® : Les recherches sur le terrain

Pourquoi l’Adrenaline GTS est une chaussure appréciée à la pointe de l’industrie depuis vingt ans ?

Simplement parce qu’elle incorpore leur technologie brevetée GuideRails®, résultat direct de leurs recherches. Le système GuideRails® offre un soutien à vos pieds, vos genoux et vos hanches en permettant de réduire la déviation excessive de ta trajectoire de mouvement habituelle. Cette technologie équipe également la Glycerine GTS.

Considérez le GuideRails® comme des petites roues stabilisatrices sur un vélo qui vous empêchent de tomber d’un côté ou de l’autre. Le système GuideRails® maintient votre foulée stable et dans sa trajectoire naturelle tout en réduisant les déviations. Grâce à cette technologie, vous courrez avec le plus grand confort et vos articulations sont soutenues.

Pour les runners qui ont tendance à rester dans leur trajectoire de mouvement habituelle, il y a bien entendu une sélection de chaussures neutres, ghost, glycerin, défyance etc…


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25Jan

La pratique régulière d’un sport est essentielle pour maintenir une bonne santé

25 janvier 2023 Kikourvite Non classé 59

La pratique régulière d’un sport est essentielle pour maintenir une bonne santé physique et mentale. Les bienfaits de l’exercice sont nombreux et variés, et il est important de les prendre en compte pour maintenir un mode de vie sain.

Commençons par les avantages pour la santé physique. Les activités physiques régulières peuvent aider à prévenir de nombreuses maladies, comme les maladies cardiaques, le diabète et l’obésité. Les sports aérobiques, tels que la course à pied, le vélo, la natation ou la danse, sont particulièrement bénéfiques pour la santé cardiaque et pulmonaire. Les sports de force, comme la musculation, la gymnastique ou le yoga, sont bénéfiques pour renforcer les muscles et les os, améliorer la flexibilité et l’équilibre.

En ce qui concerne le bien-être mental, la pratique d’un sport peut aider à réduire le stress, l’anxiété et la dépression. Cela peut être dû à la production d’endorphines, des substances chimiques produites par le cerveau qui peuvent améliorer l’humeur et soulager la douleur. Les sports comme la marche, la course à pied, le vélo ou le yoga sont particulièrement bénéfiques pour le bien-être mental.

La pratique d’un sport peut également être un excellent moyen de se socialiser et de rencontrer de nouvelles personnes partageant les mêmes intérêts. Les sports peuvent également aider à développer la confiance en soi et la détermination, ainsi qu’à apprendre de nouvelles compétences et à relever des défis.

Il est important de choisir un sport ou une activité physique qui vous plaît et qui est adapté à votre niveau de forme physique et à vos objectifs de santé. Il est également important de consulter un médecin avant de commencer une nouvelle activité physique, surtout si vous avez des antécédents médicaux ou des problèmes de santé. Il est également important de s’échauffer et de s’étirer avant et après l’exercice pour éviter les blessures. Il est également important de s’hydrater suffisamment avant, pendant et après l’exercice pour éviter la déshydratation.

En somme, la pratique régulière d’un sport est un élément clé pour maintenir une bonne santé physique et mentale. Il est important de choisir un sport qui vous plaît, de consulter un médecin avant de commencer une nouvelle activité physique et sportive.

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02Mai

Devenir meilleur avec un entrainement complet à la course

2 mai 2022 Kikourvite Non classé 100

La recherche de performance en course à pied est fréquente chez les coureurs ! Pour différentes raisons, on peut vouloir chercher à s’améliorer, aussi bien en termes de résultats que de technique. Mais pour ça, il est important d’avoir un entrainement complet à la course. Ce qui signifie qu’il ne faut pas se limiter aux sorties qui rythment sa semaine !

Chercher de meilleures performances en course : pourquoi ?

Je vais donc revenir sur ce qu’est un entrainement complet et pourquoi il est intéressant.
Pour bénéficier d’informations complémentaires, de nombreux articles ont été rédigés à cette adresse : https://www.ownsport.fr/blog/running/. Je vous invite aussi à parcourir le reste de ce blog où j’ai déjà abordé le sujet fréquemment !

Presque tous les coureurs ont un jour recherché de meilleurs résultats. Voici les raisons pour lesquelles vous pourriez vous y intéresser !

Pour le plaisir ou pour sa santé

Tout d’abord, c’est souvent le cas lorsqu’il est question de préparer une compétition. Plus cette dernière demande un niveau élevé, plus il faudra s’entrainer pour aller au bout.

Des plans d’entrainement tout faits se trouvent même facilement pour chaque type de course (marathon, semi-marathon, ultra trail…). Attention tout de même avec cette formule, qui ne s’adapte pas forcément à votre niveau !

Ensuite, il arrive qu’on veuille devenir meilleur simplement pour le plaisir de se dépasser. C’est toujours grisant de constater une progression de son endurance, ou de l’intensité de sa course avant le passage en anaérobie.

Enfin, avoir de meilleures performances comporte des bienfaits sur la santé qui devraient être plus souvent évoqués. Et oui, mieux performer prévient les blessures ! Une meilleure foulée et une meilleure condition physique en général permettent donc d’éviter les lésions et autres pathologies.

Les articulations sont aussi mieux protégées avec un entrainement complet. En effet, le running est un sport qui comporte des impacts. Ces derniers peuvent provoquer des traumatismes ou des douleurs, notamment aux genoux. En optant pour un entrainement complet, vous évitez ces effets indésirables au maximum.

Cependant, dans l’ensemble, la course est plutôt bénéfique pour les articulations. Elle diminuerait notamment le risque d’arthrose comme le soulève reflexosteo.com. En effet, elle ralentirait l’usure du cartilage. En modérant les impacts avec une bonne préparation et en vous entrainant, vous restez donc en bonne santé plus longtemps !

Un plan d’entrainement complet à la course : des sorties, mais pas que !

S’attarder sur sa technique de course

Si vous pratiquez la course à pied depuis un moment, vous le savez sûrement… On ne court pas n’importe comment ! Pour progresser, votre technique de course est importante. Déroulé de la foulée, posture, espacement des pas, etc.

Je ne vais pas m’attarder sur comment bien courir, car il y aurait trop à dire. Mais gardez à l’esprit que c’est important si vous voulez des résultats ! Et même, simplement, par sécurité.

L’organisation de ses sorties run

Pour s’entrainer à courir afin de s’améliorer, le principe est simple. Il s’agit de programmer, sur plusieurs mois, le nombre de sorties et leur durée pour chaque semaine jusqu’au jour J.

Il n’y a pas d’entrainement type, puisqu’il dépend de plusieurs facteurs. Niveau en tant que coureur, type de course pratiquée, habitudes sportives en dehors du running… Cela peut varier aussi si votre plan d’entrainement comprend à la fois de la course à pied et d’autres types de sports. Parfois, le mieux est l’ennemi du bien. Il faut trouver la cadence adaptée pour s’améliorer, sans surmener votre corps.

Pour progresser, beaucoup conseillent cependant un minimum de 3 séances par semaine. Bien sûr, ce chiffre est indicatif, il faut augmenter progressivement la difficulté, en fonction de vos limites !

De plus, il ne faut pas s’entrainer toujours au même rythme, bien au contraire. La variété est la clé de la progression. Ce qui nous mène à ce qui fait un entrainement complet à la course !

D’autres exercices pour un entrainement complet à la course

Vous avez peut-être déjà lu l’article sur le gainage et ses bienfaits pour la course. Ce dernier est en effet très intéressant pour renforcer les muscles profonds et les abdos. Mais il existe beaucoup d’autres exercices que vous pouvez faire pour rendre votre entrainement à la course plus complet.

Par exemple, certains muscles peuvent être travaillés en isolation. Il est intéressant de faire du renforcement musculaire en complément du run, notamment pour ceux qui ont un déséquilibre musculaire. Ischios-jambiers, quadriceps, fessiers ou muscles des mollets pourront alors devenir plus costauds.

Les jambes ne sont d’ailleurs pas les seules à travailler lorsque vous courrez. Les abdominaux sont aussi importants pour la stabilité du tronc ! Pour que vos foulées soient correctement exécutées, cette stabilité est indispensable.

Les exercices recrutant plusieurs groupes musculaires ne sont pas moins pertinents. Ils ont l’avantage de renforcer plusieurs zones de votre corps à la fois. Fentes, squats, crunchs… Il y a du choix.

Par ailleurs, il est recommandé d’alterner entre course et autres pratiques sportives. C’est ce qu’on appelle l’entraînement croisé ! En plus d’être optimal, ce dernier permet de casser la routine dans laquelle on peut avoir tendance à s’installer lorsqu’on court régulièrement.

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