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Découvrez la bigorexie, ou addiction au sport

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Découvrez la bigorexie, ou addiction au sport

By Kikourvite inArticle

Comment reconnaître l’addiction ?

Les manifestations sont variées : planifier sa vie autour du sport, culpabiliser si une séance est manquée, continuer malgré une blessure, s’isoler pour s’entraîner ou encore ressentir de l’anxiété si l’effort n’est pas fait. Ces signes sont typiques de la bigorexie et répondent aux critères d’une dépendance sans substance.

Mais attention à ne pas tout mélanger : être passionné, c’est avoir envie de courir, de s’entraîner, de progresser. C’est normal d’aimer transpirer, d’avoir des objectifs et même de parler running à l’apéro. Ce qui différencie une passion d’une addiction, c’est la perte de liberté. Le passionné choisit, l’addict subit. La passion fait du bien, l’addiction finit par faire mal.

Bigorexie, exercise bulimia et anorexia athletica : quelles différences ?

La bigorexie regroupe souvent plusieurs formes de dépendance : la compulsive exercise (obsession sans plaisir), la exercise bulimia (compensation calorique via le sport) et l’anorexia athletica (combinaison d’ultra‑entraînement et de contrôle alimentaire pour la performance). Ces termes traduisent la complexité des comportements addictifs liés au sport.

Bigorexie et autres sports : performance à tout prix

La bigorexie ne se limite pas à la course à pied ; elle touche aussi le triathlon, l’haltérophilie, le crossfit ou encore les sports d’endurance comme le trail. Tous ces univers où l’on parle d’objectifs, de watts, de zones d’allure et de volume hebdo. Très vite, le monde du bigorexique se rétrécit : aucun autre sujet que le sport ne l’intéresse vraiment. Les discussions sur la météo, la politique ou les vacances le laissent indifférent, voire agacé. Ce qui le stimule, ce sont les temps de passage, les nouveaux plans d’entraînement, la nutrition sportive, les chaussures carbone ou les podiums à venir. Et si la conversation dévie ? Il décroche mentalement. Ce n’est pas qu’il est impoli, c’est juste que son univers s’est refermé, et que l’extérieur lui semble ennuyeux.

Pourquoi cette dépendance ?

Sur le plan neurobiologique, le sport libère dopamine, endorphines et endocannabinoïdes, créant une euphorie comparable à la dépendance à une substance. Sur le plan psychologique, elle peut découler de traits perfectionnistes, d’un besoin de contrôle ou de troubles alimentaires antérieurs. Enfin, le contexte social et médiatique, notamment les tendances « fitspiration », renforce la pression vers l’excès.

Fitspiration : inspiration ou pression déguisée ?

Le terme “fitspiration”, contraction de fitness et inspiration, désigne les images de corps ultra-athlétiques, les transformations avant/après, les citations de motivation extrême et les vidéos d’entraînement millimétré publiées sur Instagram, TikTok ou YouTube. Si leur but affiché est de motiver, leur effet réel est souvent plus toxique que tonifiant. À force d’exposer des physiques irréalistes et des vies centrées uniquement sur le sport, ces contenus génèrent de la comparaison sociale, un sentiment d’échec, et une envie d’en faire toujours plus, même au détriment de la santé. L’addict cherche alors à coller à une image idéalisée, quitte à s’oublier complètement.

Conséquences de la bigorexie

Physiquement, cette addiction conduit à des blessures récurrentes, de l’épuisement, voire des troubles plus insidieux comme des déséquilibres hormonaux, une aménorrhée chez les femmes, ou une baisse de testostérone chez les hommes. Elle peut aussi entraîner une anémie, un manque de fer, de magnésium ou de vitamines essentielles, lié à une alimentation trop restrictive ou à une dépense énergétique trop élevée non compensée. Le corps tire sur la corde, jusqu’à la rupture.

Le sportif en manque de repères peut se mettre à user de compléments alimentaires (protéines, boosters, fat‑burners…) de façon inappropriée, espérant compenser le surmenage ou améliorer ses performances. Même si ce n’est pas systématique, des études montrent une corrélation entre gros consommateurs de suppléments et malaise mental, notamment chez les jeunes. Mal dosés ou pas adaptés, ces compléments peuvent entraîner troubles gastro-intestinaux, fatigue mentale, voire perte de lucidité, brouillard mental et manque de clarté.

Sur le plan mental, l’envie compulsive d’exercer mène à l’anxiété, la perte de plaisir, la culpabilité et souvent un isolement social. Le sportif ne vit plus pour bouger, il bouge pour survivre à sa journée.

Comment sortir de l’excès tout en continuant à courir ?

La première étape consiste à reconnaître la dépendance et à en parler, idéalement avec un professionnel (psychologue, médecin du sport). Ensuite, il faut redéfinir une routine équilibrée : instaurer des jours de repos, varier les activités, apprendre à écouter son corps et se déconnecter des applis de performance. Si une obsession persiste, la thérapie comportementale (CBT) et le soutien d’un groupe peuvent aider à restaurer une relation saine au sport.

Conclusion : retrouver le plaisir authentique

Le sport est une formidable source de bien‑être, mais dès qu’il se mue en compulsion, il devient destructeur. La bigorexie, addiction sournoise et trop souvent méconnue, mérite d’être prise au sérieux. En alliant écoute de soi, cadre structuré et soutien adapté, il est possible de reprendre le sport avec plaisir, modération et liberté.

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